Il y a un peu plus de dix ans, le 4 février a été choisi pour la Journée mondiale contre le cancer dans un souci de promouvoir la sensibilisation et l'éducation sur le cancer et d'encourager une lutte concertée à l'échelle mondiale contre la maladie.  Depuis lors, en tant que cancérologue en exercice, je constate que les progrès accomplis sur de nombreux sous-types de cancer ont été véritablement inimaginables.

Le VIH demeure l'une des plus grandes menaces de santé publique de notre temps. On estime à 36,7 millions le nombre de personnes qui vivent actuellement avec le VIH à travers le monde, auxquelles viennent s'ajouter au moins 1,8 million de personnes supplémentaires qui contractent l'infection chaque année.^[1]

Alors que le congrès annuel de l'American Society of Clinical Oncology Genitourinary Cancers (Société américaine d'oncologie clinique, cancers des voies génito-urinaires, ASCO GU) s'approche, je suis suis penché sur les immenses progrès qui ont été accomplis dans la compréhension et le traitement du cancer de la prostate.

Nous venons de célébrer la Journée internationale de la femme, un jour de sensibilisation mondial qui rend un hommage appuyé aux accomplissements sociaux, économiques, culturels et politiques des femmes. La Journée internationale de la femme est pour moi particulièrement importante, car elle offre une occasion de prendre le temps de réfléchir à ce que nous faisons pour accélérer la parité hommes-femmes et encourager la diversité.

La présentation de la nouvelle stratégie mondiale de lutte contre la grippe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est pour nous l'occasion de faire le point et de savoir où nous en sommes actuellement dans la lutte contre la grippe, tout comme de réfléchir aux défis auxquels nous sommes confrontés alors que nous nous préparons à la prochaine pandémie inévitable.

Aujourd'hui, nous célébrons un tournant décisif : la fin du recrutement de volontaires dans la première étude d'efficacité portant sur le vaccin préventif expérimental contre le VIH de Janssen.

Chaque année, je me réjouis à l'idée de participer au Congrès annuel de l'ASCO qui rassemble plus de 40 000 participants dans le secteur de l'oncologie. Les nombreuses personnes qui ont consacré leur vie à la recherche et à la mise au point de nouvelles approches pour traiter le cancer sont pour moi une source d'inspiration de tous les instants.

Cette semaine marque la 10e conférence scientifique internationale sur le VIH-SIDA organisée par l’International AIDS Society (IAS) (IAS 2019). À la veille de la conférence, Janssen est fière d’annoncer son projet concernant l’étude Mosaico, le premier essai de phase III de son vaccin expérimental contre le VIH.